Wednesday, October 21, 2009

1 of 4 km of new roads financed by eu funds

One out of every four kilometres of the roads built today in Morocco is financed by the EU funds allocated for the transport sector. Through the programme that supports reforms in the sector, according to the information published on the ENPI site (www.enpi-info.eu), the EU supplies aid to projects for road and maritime transport, as well as the port and airport systems, for which Morocco has already signed the Euro-Mediterranean treaty, with the reciprocal opening of the markets (Open Sky).
The EU therefore contributes to diverse initiatives beginning with the development of motorways, for example the enlargement of the Casablanca-Rabat, a north-south axis, on which work will conclude in 2011, o the new connection between Fez and Oujda, which started work in 2007, lengthening the Rabat-Meknez-Fez, creating a east-west axis. Next year work on the Marrakesh-Agadir motorway is scheduled to finish. Moreover, the European partner in encouraging Morocco's government to change the rules of road circulation, giving an incentive to the safety factor. In total, between 2003 and 2008, the EU's contribution to the entire transport sector in Morocco was 96 million euros.

via ANSAmed

Monday, October 19, 2009

Ciment: une surcapacité d’ici 2 ans

Le secteur cimentier vit des jours difficiles. La méforme du secteur immobilier, qui absorbe 80% du ciment produit au Maroc, conjuguée avec le mois de Ramadan, a complètement anéanti les espoirs d’une reprise de la demande», explique-t-on auprès de l’Association Professionnelle des Cimentiers (APC).
Selon les prévisions d’Abdessalam Bikdir, Directeur Commercial chez Lafarge Ciment et Président du Comité de promotion à l’APC, pour l’année 2009, "au mieux, le marché du ciment progressera de +1% par rapport à 2008, sinon il enregistrera une légère baisse". Pour étayer ses propos, le Directeur cite plusieurs facteurs qui contribuent au tassement de la demande nationale du ciment. "Outre la crise économique qui a eu des répercussions sur tous les secteurs et en particulier celui de l’immobilier, quelques gros chantiers, comme Amwaj à Bouregreg et le Mega Mall de Marrakech, sont à l’arrêt".
"La demande de ciment ne devra pas beaucoup évoluer, alors que la capacité de production annuelle passera de 17,6 millions de tonnes en 2009 à 18,2 millions en 2010 et 21 millions de tonnes à fin 2011", souligne Hassan Chouaouta, chargé de mission auprès de l’APC. En effet, durant les 2 prochaines années, pas moins de 3 nouvelles cimenteries devraient démarrer leur production. La cimenterie du groupe Addoha, celle du groupe Chaâbi à Settat ou encore l’unité de production de l’espagnol Lubasa qui sera située à Sidi Kacem.
Les cimentiers sont presque tous convaincus que l’on s’achemine vers un déséquilibre flagrant entre la demande et les capacités de production. "Si la demande n’évolue pas de manière soutenue, les cimenteries auront, en 2011, un surplus de 6 à7 millions de tonnes annuellement", souligne M.Chouaouta.
"Les ciments égyptiens et turcs qui bénéficient déjà de droits de douane très bas dans le cadre de l’accord d’Agadir seront également avantagés par la disparition des droits de douane", se désole M.Bikdir qui ajoute que "la production nationale ne peut tout simplement pas rivaliser avec celles des autres pays".

via La Vie Eco